Arrive du cook-county

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Carole arrivait du cook-county.
Sa journée avait été très longue !! Elle ne se rapellait pas que travailler aux urgence du cook-county était si dur, et surtout si épuisant. Elle enleva ses chaussures, alla vers la salle de bain, se désabilla puis pris une douche bien chaude. Elle ferma les yeux et pensa à tout les évènements de la journée. LA coup qu'elle avait pris dans le nez, ce qui la fit rire, puis la fille au SIDA. Elle souffla. Puis elle pensa à ses filles. Elle se mit à pleurer sous l'eau qui coulait encore au-dessus d'elle. Au bout d'un moment, elle s'arrêta de pleurer, inspira une bonne boufée d'air, arrêta leau et sortit de la douche. Elle se mit en pyjama. Un pyjama doux, bleu avec des nounours dessiné dessus. Elle se rappela que c'était Doug qui le lui avait offert. Elle se demandait comment tout les deux avaient pu en arriver là. Est-ce qu'elle avait fait quelque chose de mal pour que Doug se retrouve avec quelqu'un d'autre dans leur propre lit.
Puis elle secoua la tête.

*Bon sang Carole, ce n'est pas de ta faute, arrête !!*

Puis elle se dirigea vers le téléphone, et composa le numéros de Doug. Elle voulait parelr à ses filles, elle en avait besoin. Malheureusement, c'était le répondeur, comme d'habitude. Elle racrocha, pleura un bon oup, puis se dit qu'il fallait qu'elle mange. Elle alla dans la cuisine, se fit chauffer un plat tout près au micro-onde : des lasagnes.
Puis elle les sortit, pris une fourchette, touilla sa nouriture, puis posa la fourchette : elle n'avait pas le coeur à manger. Elle débarassa, alla dans son lit, se coucha. Elle avait un de ces cafards !!

*TU dois surement avoir besoin d'une bonne nuit de someille !!*

Des larmes coulèrent sur ses joues blanche et douces une nouvelle fois. Elle ferma les yeux et s'endormit.

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Carole se réveilla en sursaut, toute transpirante. De toute évidence, elle avait fait un cauchemar, disparu avec le son de son réveil. Elle regarda l'heure : 4h30 . Elle soufla, posa une main à sa tête : elle avait la migraine. Elle se leva, alla à la douche, et quand elle eu fini, elle alla en direction de la cuisine, avala un petit quelque chose, et pris un paracétamole, pour faire disparaître son lourd mal de tête.
Elle regarda l'heure : 5h30. Il était l'heure qu'elle parte au boulot.
Elle prit son sac et ses clés, sortit de chez elle, et ferma sa porte à clé...

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Carole arrivait du cook county. Elle avait vu sam malade, s'en était occupé, puis avait fini sa garde au bout d'un moment. Elle était allé parler à carter, mais celui-ci l'avait embrasser, et il agissait bizarrement. Elle ne savait si elle l'aimait ou pas, mais il étaitvrai qu'elle était attirer par lui. Etait-ce une profonde amitié , une amitié très profonde ?? Elle n'en avait aucune idée.
Elle décida d'aller prendre une douche pour y voir plus clair.
UNe fois sa douche finie, elle enfila ses sous-vêtements et un peignoir. Elle aimait e mettre en peignoir après sa douche, lorsqu'elle sortait du cook-county. Cela la détendait d'haitude. Pourtant là, elle n'était pas détendu du tout. Et la douche ne l'avait aider en rien au niveau de la réflexion sur John.
Que devait-elle penser ? trop de questions se bousculait dans sa tête. Et se rire ? Se moquait-t-il d'elle , Non ,Carter n'était pas comme ça. Elle chassa vite cette idée de sa tête.
Mais alros, que lui arrivait-il ? Elle se fit une petite infusion, et alla la boire au salon, sur son canapé très confortable, dans les tons de vert foncé. Il était tout de cuir, et elle se rappela que c'était Doug qui lui en avait fait cadeau.
Puis ses pensées revinrent rapidement vers le baisr de carter.

John qui faisait un tour en ville, arriva devant chez Carole par hasard. Et oui le hasard fait bien les choses. Il gara sa voiture puis après quelques minutes de reflexion décida d'en sortir et d'aller voir Carole pour s'excuser. Il monta et frappa à sa porte

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Quelqu'un avait frapper à la porte, ce qui fit sortir carole de ses pensées. Elle posa sa tasse d'infusion sur une petite table basse en verre qui se trouvait devant le canapé, se leva, resserra son peignoir et ouvrit la porte. C'était John. Elle était géné. Elle eu à nouveau un frisson.

*OUh, ca doit être le courant d'air*

"Salut."

"Euh salut...."

Carole ouvrit complétement la porte, c'est alors que John s'approcha doucement et l'embrassa à nouveau

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John entra et embrassa Carole.Celle-ci ne savait que faire. A ce moment là, elle ne pensait plus à rien, elle se laissa faire. Elle n'écourtait pas son baiser, mais ne le lui rendit pas non plus. Elle ne savait comment se comporter.

Après réflexion, Carole décida de profiter de ce baiser. Elle passa ses bras autour du cou de John et décida d'approfondir ce baiser. Tout deux avancèrent doucement dans l'appartement, John refermant la porte avec son pied.

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Puis après plusieurs minutes, carole écourta le baiser que lui avait donné John. Elle se sentait coupable.

"John, je... je suis désolé, je ne peux pas."

John aussi arrêta. Pourtant Carole avait toujours ses mains sur les hanches de Carter

"Moi aussi...je suis désolé..."

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Carole enleva ses mains des hanches de carter et se mit les cheveux en arrière. Elle faisait ça notament quand elle était stressé, angoissée, et c'était la cas. Si elle pouvit, elle aurait courut pour aller se cacher au fond d'un fleuve, là où personne ne pouvait la voir. Elle regarda par terre. Elle était comme un petit enfant de nouveau.

"Je suis désolé, je ne peux pas Carter je..."

Elle ne savait que dire, comment réagir face à cette situation.

"Bon...allez bonne journée...le jour va bientôt se lever..."

Il marcha vers la sortie

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Carole attrapa le bras de carter, et lui dit lorsque celui-ci se retourna.

"Tu n'as rien à me dire ?"

"De quoi...je me suis déjà excusé..." dt il doucement

Il se retourna complétement vers Carole qui semblait désenparée

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Carole regardait de nouveaux par terre. John avait vu juste, elle était désemparé.

"Je ne te demande pas d'excuses, je... tu n'as pas honte vis à vis de Sam ?

Elle recommençait avec ses mains, elle les bougeait dans tous les sens, les mettaient dans les poches de son peignoir, les enlevait, remontait ses cheveux. Elle avait atteint le sumum de l'angoisse... et de la gêne.

"Je... pourquoi tu m'as embrassé ? John, je... je n'aime pas qu'on se foutte de oi, je..."

Elle fondit en larme. Depuis son divorce avec Doug, elle avait totalement perdu confiance en elle, encore plus depuis qu'elle avait perdu la garde de ses jumelles.

"Je ne me fous pas de toi Carole...Sam ne m'aime pas et je n'ai pas du tout honte..et puis laisse tombé...tu ne sais plus ce que c'est que l'amour à ce que je vois.."

Il lui adressa un regard triste puis sortit

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Quoi ? carter lui avait dit qu'elle ne savait plus ce qu'était l'amour ? Elle ne savait que penser... Etait-ce vrai ? Et apparment Sam n'aimait plus carter ? En tout a=cas, il avait l'air triste du refus de carole, et elle n'aimait pas le voir dans cette état. Elle cessa de pleurer, malgré la remarque blessante de carter.

"Comment ça je ne sais plus ce qu'est l'amour ?"

Lui dit-elle avant qu'il ne parte pour de bon ? Puis sans attendre de réponse, elle encahiana.

"Je suis désolé carter. Crois-moi. Mon histoire avec Doug m'a beaucoup atteinte et touché. Je...

Puis elle se tut, et préféra changer de sujet.

"Je ne t'ai même pas demandé si tu voulais boir quelque chose."

John se tourna vers Carole. Il fit mine de n'avoir rien entendu

"Allez au revoir et dors bien..."

Le soleil était en train de se lever

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Carole vit John s'en aller. Elle ne le retint pas, le soleil commençait à se lever.
Elle alla dormir un petit peu. Demain serait un autre jour.
Le réveil sonna : il était 10:00. ccarole était fatigué, mais elle se leva, se prépara, et pensa à tout ce qui s'était passé la veille. Puis elle chassa ses idées noirs. Aujourd'hui était un autre jour.
Elle s'en alla de chez elle, direction l'hôpital.

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Carole rentrait comme d'habitude du cook county.
Elle était épuisé. Elle alla à la douche, comme toujours en rentrant de ses gardes, puis une fois fini, elle enfila un paignoir. Ensuite, elle alla se faire un repas : des haricots verts préparés à la vas-vite. Elle les touya dans son asiette, et conclue, une fois de plus, qu'elle ne ùmangerai aps, elle n'avait aps le coeur à cela. Elle était entrain de déprimé. En effet, plus rien n'allait depuis plusieurs années. Elle s'étaient séparé de Doug, avait perdu la garde de ses propres filles, lesquelles elle avaient nourri lorsque Doug ne daignait même aps venir les voir, puis elle était revenu au cook countty. UNe chose bien en soi, mais qui s'était avéré vite crevant. En effet, lorsqu'elle avait épousé Doug, celui-ci lui avait demandé de se pencher réellement sur son rôle de mère, et elle était donc devenu mère au foyer. Elle n'avait donc plus l'habitude de travailler autant ! A la fatigue s'ajoutait donc le fait qu'elle s'était disputé avec Sam, quelqu'un qu'elle appréciait réellement, mais aussi à la fuite de ses sentiments pour carter, et maintenant qu'elle avait réalisé qu'il comptait beaucoup plus qu'un simple ami pour elle, elle ne savait comment lui dire... Elle n'osait aps. Elle n'avait aps eu de relation amoureuse depuis Doug, et elle avait peur de souffrir une seconde fois. Elle ne savait plus quoi faire pour remédier à tous ces petits soucis. Ils n'étaient pas grand chose, mais Carole était faible, elle déprimait facilement, et il ne fallait aps oulier qu'elle avait déjà essayé de mettre fin à ses jours, ce qui montrait bien sa vulnérabilité. Elle s'approcha du téléphone et appela Doug. Elle lui avait dit qu'elle voulait parler à ses filles, et pendant que celui-ci lui avait répondu une réponse négative, elle avait entendue les soupirs d'une femme derrière le combiné. Celui-ci était surement entrain de se payer du bon temps ! Mais où était ses filles ? Elle insista auprès de son ex-mari, lui disant qu'elle avait vraiment besoin de parler à ses jumelles, que ça faisait très longtemps qu'elle ne leur avait pas parler, depuis le déménagemet exactement. mais celui-ci réitéra sa réponse négative, et lui raccroca au nez. Carole remit alors le combiné en place à son tour, et tapa du poing sur la table.
Elle se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. décidément, plus rien n'allait. Elle était crevé, elle avait gâché son amitié avec Sam, et également une histoire d'amour qui aurait pu se passer entre elle et Carter, quelqu'un qui, elle se rendait compte, comptait beaucoup pour elle. De plus, elle ne pouvait plus parler à ses filles, et ne les verrai certainement jamais plus !! Non mais elle était leur mère quand même !! Et cette situation aurait été insupportable pour toute mère qui se respecte. Elle pleura de plus bel. Cette idée venait remuer le couteau dans la plaie, qui était déjà bien ouverte. Un couteau ? Une idée lui vint alors dans la tête. Non, elle devait la refuté, elle se devait d'être plus forte qu'elle. Mais à ce moment précis, elle ne pensait plus qu'à son malheur. A quoi bon vivre si ce n'était simplement pour éprouver de la tristesse tout au long de sa vie, une vie vide et misérable ? Elle se dirigea vers la cuisine. Là, elle ouvrit le tirroir, et prit le couteau à viande. Puis, toujours sans réfléchir à rien d'autre qu'à son simple malheur, elle changea de pièce, et rentra dans le salon qui était en face de la porte d'entrée. Elle s'assit contre le canapé. Elle amena le couteau contre ses veines de son bras gauche, puis hésita un moment. Finalement, elle sé dicda enfin, et enfonça la lame aiguisé du couteau dans une veine bien voyante de son bras. Sa coupure était nette et précise, on voyait que c'était un travail de professionel. Elle cria de douleur, mais elle ne s'arrêta pas là. Elle prit le couteau de sa main gauche, bien qu'elle souffrait le martyr, et se coupa le bras droit. La coupure était moins précise que celle surle bras gauche. En effet, l'infirmière 'était aps gauchère, ce qui rendait plus difficile l'incision. Elle cria une fois de plus, de façon plus forte que la première incision. moins, le sang qui emplissait ses deux memebres, puisqu'on ne voyait lpus la chair à présent. Elle souffla, elle avait mal, elle souffrait. Elle s'allongea sur le sol avec ses eux grands ouverts. Elle sentait son coeur battre de plus en plus vite, elle savait maintenant que tout n'était plus qu'une question de temps. Puis son regard se troubla, Carole ne distinguait plus les formes nettements. Maintenant, elle ne voyait plus rien que du noir, elle n'entendait pas son coeur battre, elle n'entendait pas le son de la trotteuse de l'horloge qui se trouvait non loin d'elle, elle ne distingaut plus aucune forme, ni aucun bruit.

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Le taxi avait déposé carole juste devant son appartement, comme l'avait dit John. Elle sortit, le paya, et rentra dans son appartement. Elle avait mis plus d'un quart d'heure à rentrer, devant essuyer les commentaires et questions de ses voisins. Elle passa devant l'appartement de sa voisine, et se rappela les bon moments passés avec elle. Elle eu un haut les coeurs, er préféra donc ne pas s'attarder ici. elle ouvrit donc son appartement et y rentra. On lui avait recommander de ne pas mouiller ses poignées. Aussi avait-elle décider de rpendre une douche, mais à sa façon, simplement avec un gant, pour ne pas prendre de risque. Puis elle avait enfiler un peignoir, et s'était installé sur son canapé.Elle regarda sur le sol, il n'y avait plus de tâche de sang. Elle se dit donc que quelqu'un l'avait surement nettoyé. Elle inspira profondément, et s'allongea sur le canapé. Elle s'endormit au bout de dix minutes dans un someil tourmenté. Soudain, elle se réveilla en sursaut. Elle avait rêvé quelque chose d'horrible : Carter et elle était dans une voiture accompagnés de ses jumelles, quand des balles fusèrent sur ce moyen de transport. Suite à cela, ses jumelles avaient succonbé ainsi que le docteur Carter. Son rêve s'était fini dans une marre de sang. Elle se réveilla alors en suffoquant. Il fallait qu'elle se calme pour recouvrer sa respiration. Peztit à petit, elle réussi à se calmer et alla boire un verre d'eau. Elle était ruisselante de transpiration. Elle se mouilla la figure rapidement, puis sans prendre le temps de se changer, elle partit de chez elle en peignoir, direction la maison de John. Elle voulait s'assurer que rien ne lui était arriver.

Infirmier(e) Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 11/03/2007

Il était maintenant 6:00, Carole revenait de chez John où elle s'était endormit durant la nuit. Elle rentra chez elle. Lors du trajet le chauffeur de taxi avait gardé les yeux sur elle, surement interrogé par la tenue qu'elle portait : en effet, elle portait un peignoir, ce qui n'était pas commun à tous les passagers de son véhicules !
Elle enleva son peignoir pour se vêtir d'un jean et d'un haut de laine. Puis elle se rappela qu'il ne s'agissait pas de son peignoir ! C'était celui que lui avait passé la domestique lrosqu'elle était arrivée frigorifiée. Elle se promit alors de lui ramener plus tard.
Puis sans rien avaler pour le petit déjeuner, elle s'en alla prendre le métro pour se rendre au cook county.