Les bancs...

"Fièvre...malaise...sueur et elle a mal..elle a froid aussi."

John déposa Sam sur le brancard puis parla à Carole...

"Ca vient juste de lui arriver...il y a 10 minutes..."

John était un peu gené, il couvrit Sam avec un drap

"OK. Est-ce que tu sais ce qui a provoqué tout ça ? "

Elle notait chaque détail que John lui disait sur le dossier. Elle avait peur de rater le moindre détail, ce n'était pas comme d'habitude. Là il s'agissait de Sam !

"Bon sang, mais que font les médecins. Tu les a bipé ?"

Elle bipa un médecin.

"OK. Est-ce que tu sais ce qui a provoqué tout ça ? "

"Euh et bien...je...on..." John baissa la tête "...On avait fait l'amour juste avant..."

Il regarda Sam puis releva timidement les yeux vers Carole

"Franck a bipé tous ceux qu'il pouvait..."

Carole vit que carter était plutôt mal à l'aise après lui avoir dit ce qu'ils avaient fait avant que tout cela n'arrive.

"J'espère qu'ils ne vont pas tarder alors... Bon sang".

Elle se passa les mains dans les cheveux.
Elle souffla, elle ne savait que faire. Elle mis un doigt dans le coup de Sam, pour voir son pouls.

"Son pouls est faible John. Je ne comprend pas. Elle s'est mis dans cet état tout de suite après vos ébats ? Tu es sûr, il n'y a rien eu d'autre après ?"

Elle regarda John. Non, ce n'était pas ça. Elle avait seulement de la fièvre, elle avait froid et des sueurs. maos John avait dit qu'elle avait mal...

*Non c'est n'importe quoi Carole. Comment tu peux penser une chose pareil ! John n'a pas fait de aml à Sam. IL n'est pas violent, il ne ferait pas de mal à une mouche. *

Elle le connaisait trop bien pour oser penser cela. Et pourtant elle l'avait fait.
Elle secoua la tête comme pour chasser cette idée de sa tête.
Pourtant, elle devait lui demander. c'était la procédure à suivre, rien de plus.
Elle regarda John, gêné. Celui-ci avait peur, ça se voyait dans ses yeux. Il avait peur pour Sam, et carole aussi d'ailleurs.

"John, je suis désolé de te poser cette question, mais je dois le faire. Est-ce que vous vous êtes disputé toi et sam ? Est-ce que tu as été violent dans tes ébats amoureux avec elle ? "

Elle avala sa salive.

"Est-ce que tu lui a fait du mal ?"

"Mais non ! Pourquoi tu dis ca Carole ! Je...on l'a fait puis...on a dormi une heure...elle s'est levée...elle n'a rien voulu me dire...elle m'a un peu crié dessus et voilà c'est arrivé comme ca ! Je...tu penses vraiment que je lui ai fait mal ?"

John lanca un regard noir à Carole. comment pouvait elle penser ca ?

Carole baissa la tête. Elle n'osait pas regarder John en face. Elle avait penser qu'il lui avait fait du mal pendant quelques secondes, et ça, elle ne se le pardonnerai jamais. Comment avait-elle pu douter de John ? Mais seulement quelques secondes. elle avait cependant dû lui poser la question juste par habitude. elle posait cela à toute sorte de patients. Elle releva la tête vers John.

"Je suis désolé. Je, je... Je t'ai posé la question par procédure, je pose cette question à chauqe patient qui sont dans le mêms tyle que Sam. Seulement sam, elle ne peut aps me répondre !"

Elle baissa les yeux sur Sam. Elle avait l'air mal à point.

"John, je ne pense pas que tu lui ai fait quoi que se soit. Tu es incapable de faire mal à une mouche."

Elle le regarda. Cette situation était comme un cauchemard : Sam sur le brancard, Jon à xôté, incapable de faire de mal à une mouche, et pourtant elle-même avait osé lui poser la quetsion fatidique.

"Je suis désolé john. "

Puis elle revint quand même sur le cas de Sam.

"Elle s'est endormi et s'est levé d'un coup ? Elle n'a pas crié de douleur rien ? Il n'y a rien qui peut te paraître anodin mais qui ne l'est pas ?"

Elle souffla et regarda en direction de la porte des urgences, il n'y avait toujours personne.

"Bon sang mais qu'est-ce qu'ils font ?"

Elle souffla.

"Non c'est bon...je t'excuses d'avoir pensé que je l'ai violée ou violentée !"

Il regarda Carole

"Emmène la dans une salle d'examen...moi je ne peux rien faire ! Et bipe Kovac il doit être dans les parages..."

"D'accord. Je l'emmène tout de suite. "

Elle avança un peu, puis se retourna vers carter.

"Carter ? Ne t'inquiètes pas. Tout va bien se passer."

Elle avança avec le brancard, et sans se retourner, rajouta :

"Je te tiens au courant ! "

HJ : elle à quoi en fait ? lol

John regarda Carole s'éloigner avec le brancard...

"Oui je te crois..."

HJ : Ca ben demande lui par MP...fais le de suite il te répondra vite !^^

John arriva à l'entrée des Urgences. Il partit s'asseoir sur un banc

*Et bien...tu es en froid avec Abby..Luka...Sam...Anspaugh...*

Il soupira puis observa la ballet des ambulances

Carole avait chercher carter de partout dans l'hôpital, puis ne le voyant ni àl'acceuil, ni à la salle d'attente, elle s'était dit qu'il était peut-être dehors, vers les bancs. Elle ne s'était pas trompé, puisqu'elle le vit là, assis. Il avait encore l'air énervé. En fait, elle pensit que beaucoup trop de sentiments se mélengeait en lui à l'heure qu'il était : il semblait à la énervé, mais aussi triste, et peut-être même décelait-elle de la culpabilité en lui. Elle avança vers lui, et s'assit à côté du jeune médecin sur le banc.

"J'ai fait tout ce qu'il fallait. Ses constantes sont bonnes, et sa fièvre est tombé."

Elle remit ses cheveux en arrière, puis après un petit moment de silence, elle finit par demander à Carter :

"John, qu'est-ce qui ne va pas ?"

John regarda Carole s'approcher pour enfin s'asseoir

"Tout va bien Carole...qu'est ce qui te fait penser que je ne vais pas bien ?"

"Je... Je sais pas moi. Tu t'énerve contre Luka, ensuite tu nous traite tous d'incompétent, et pour finir, tu te fous entre guillemet de ce qu'a Abby. Et puis, tu te mets dans des états pas possible pour un petit rien. J'ai l'impression que tu n'es plus toi même. Qu'est-ce que tu as ? T'as un soucis, tu veux en parler. Bon sang, tu me fais de la peine John. Je lis de la colère, et de la tristesse dans tes yeux. Si c'est à cause de ce qu'a Sam, se n'est absolument pas de ta faute. Elle est malade, elle est malade. Point barre, ce n'est pas de ta faute. TU n'as rien fait pour cela.
Et puis, pourquoi tu ne peux pas exercer aujourd'hui. Est-ce que ton humeur a aussi rapport avec ça ?
Dis-moi John. Parle-moi. C'est important. Tu verras que tu te sentiras surement mieux après ça. Parce que moi franchement, je ne te reconnais plus."

Elle expira, et regarda John dans les yeux. Elle n'arrivait pas à voir exactement ce qu'il avait, mais elle sentait qu'il était préocupé.

"Ca y est tu as fini de aprler ! Je ne savais pas que tu avais fais un stage à la CIA pendant ton absence..."

Il lui jetta un regard noir

"Ce n'est pas Sam...et ce qui m'arrive ne sont pas tes affaires !"

Carole se doutait que carter allait réagir comme ceci...

"Bon bon très bien, tu ne veux aps me parler ? C'est comme tu veux Carter. C'est juste que j'aurais voulu être auprès d'unbon ami quand il en a besoin, et crois moi, tu en as besoin John. Je veux être près de toi quand ça va mal comme tu l'as fait si souvent avec moi. Maintenant, si tu ne veux rien me dire, ne me dit rien."

Elle attendit un petit moment.

"Oh, et pour ta gouverne, je n'ai jamais fait de stage à la CIA. Je te psoais simplement des questions pour savoir ce qui ne vas pas chez toi puisque tu ne veux rien me dire. Parce que crois moi, quand quelque chose ne va aps, tu es obligé d'en aprler à quelqu'un, sinon au bout d'un moment tu craques. Tu te retrouves vite dans ta salle de bain à boire des cachets. Et crois moi John, je parle en connaissance de cause."

Elle s'arrêta nette de parler. Elle avala difficlement sa salive. Elle ne savait pas pourquoi, mais même après toutes ces années passés, son suicide était toujours un sujet déliquat dont elle n'aimait pas parler. Elle en avait plutôt honte en fait. Mais si cela pouvait aider Caretr à parler, elle était prête à le faire.
Elle remit une nouvelle fois ses longs cheveux noirs ondulés et crépu en arrière.
Elle espérait que John allait se livrer, et même si ce n'était pas avec elle mais avec quelqu'un d'autre, elle espérait qu'il le ferait tout de même.

John se tut. Il jetta un rapide coup d'oeil à Carole puis baissa la tête, regardant le reflet des lumières dans les flaques d'eau.

*Calme toi John elle ne t'a rien fait...*

Elle ne savait que faire, si elle devait continuer à l'embêter pour qu'il crache le morceau ou non, puis elle décida de faire une autre tentative.

"John, je ne suis pas une psy, je ne vaix aps te dire ce que tu dois faire ni rien. Jamais j'oserais. Je te propose seulement une oreille attentive en tant qu'ami. maintenant, à toi de savior ce que tu veux en faire de cette oreille. "

Elle le regarda, et lui posa amicalement sa main sur son épaule.

"On a tous nos problème, tu as les tiens et j'ai les miens, et toi tu es toujours là pour me réoconforter, meparler, m'écouter. Et ca compte beaucoup pour moi.
Hier encore tu étais là pour moi dans le métro, et ca m'a fait du bien que tu me parles et m'écoute.
Maintenant, j'aimerais faire pareille avec toi, pouvoir t'écouter, et te réconforter. du moins, essayer, car ton amitié est sincère pour moi, et j'espère que c'est réciproque, ce que je ne doute aps."

Elle attendit un petit moment, enleva sa main de l'épaule de John, et les croisa.

"Parle-moi John. Je t'assure que ça te feras du bien"

Elle espérait que son insistance ne serait pas inutile, et que John allait finir par lui parler.

John repensa à tout ces moments avec Carole. C'était flagrant...

"Je suis désolé..."

Il approcha son visage de celui de Carole puis l'embrassa tendrement, n'allant pas plsu loin, ses lèvres contre celles de Carole

Carole fut surpise de la réaction de John. Jamais elle n'aurait penser qu'il agirait ainsi. Jamais elle n'avait agit de façon à ce qu'il pense ça... Du moins elle l'espérait. Elle ne pouvait faire ça à Sam. Non, elle ne le pouvait. Surtout qu'elle était en ce moment dans un lit d'hôpital !
Elle en eut la chair de poule. Etait-ce la peur ? elle n'en savait rien. Elle ne savait aps quoi faire, elle ne savait plus rien en ce moment. Elle se recula légèrement, et regarda Par terre, elle n'osait regarder John.

"je, John, qu'est-ce que tu fais ?"

Elle ne savait plus quoi faire, comment agir. Elle ne savait si elle devait s'en réjouir ou non, elle ne pensait plus actuellement. Elle se sentait bizarre. Etait-ce dû au baiser ? Elle n'en avait aucune idée. Elle continuais de regarder par terre, comme un petit enfant qui aurait fait une bétise. Elle ne savait vraiment plus comment agir, plus quoi dire...

John se recula aussi, il se sentait coupable d'avoir embrassé Carole, mais ce n'était qu'une petite parenthèse dans leur relation "amicale".

"Je ne fais rien..."

Elle le regarda du coin de l'oeil, car elle n'osait le regarder. Elle se remit à regarder par terre, et tripotait ses propres mains. elle les croisait, les décroisait. Elle était nerveuse.

"Comment ça tu ne fais rien ? Je... pourquoi tu m'as embrassé John ?"

"J'en avais envie...depuis 4 ans..."

Il la regarda avec son air désolé qui rendait triste toute personne qui ne l'était pas

Le regard de carter attrista Carole. elle ne savait que faire, si elle devait se réjouir ou non. Elle ne savait si ce qu'elle éprouvait pour john était de l'amour ou simplement de l'amitié. Elle sortait d'une rupture difficile avec Doug, et elle avait du mal à faire la part des choses, à se livrer. la vérité était qu'elle avait du mal à recommencer une relation. Elle avait peur de tout gâcher comme le lui avait si bien dit Doug. Elle avait peur de Souffrir.

"Je... John, je... Tu n'es pas sérieux, je..;e t ... et et..."

Elle respira à fond. elle était stresser. Elle begayer, ne savait plus quoi dire, et ses mains commençait à devenir moite.

"Et Sam ?"

"Mais c'est qui Sam ?"

John commenca à rire...un rire presque machiavelique...

"Laisse tombé...fais comme ci de rien n'était"

Carole était étonné de la réponse de carter. Elle ne savait pas s'il en avait lui-même réellement envie. Et, pourquoi avait-il rit comme ça ? Se foutait-il d'elle ?
Heureusement elle avait fini son service, elle pourrait soit rentré chez elle, soit allé boire et discuté de tout ça avec john, ailleurs que devant l'entrée des urgences.

"John... Je... je suis assez mal à l'aise. Je, est-ce que tu te fous de moi ou est-ce que tu éprouves vrament des sentiments à mon égard ?"

Dire ses quelques mots lui avait vraiment couté, d'autant plus qu'à cet instant précis, elle l'avait regarder droit dans les yeux.Elle ne savait toujours que faire, et elle espérait que John allait lui dire la suite des évènements. Au moins, elle serait à quoi s'en tenir.

*Est-ce que je devrais aller en discuter ailleurs ou seulement rentrer chez moi ?*